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Forbes dévoile la vision de Marie Azevedo, Présidente de RESOCOM

Marie Azevedo dans Forbes : la confiance numérique comme pilier de l’économie digitale Forbes a récemment interviewé Marie Azevedo, fondatrice de RESOCOM, pour son rôle pionnier dans la protection de l’identité et la lutte contre la fraude. Une reconnaissance qui confirme l’importance stratégique de la confiance numérique dans un monde où la cybercriminalité et l’IA délinquante bouleversent les règles du jeu. Une interview qui met en lumière la vision de RESOCOM  Dans cet article publié par Forbes, Marie Azevedo partage sa conviction : « Protéger l’identité, c’est protéger l’humain ». Une phrase qui résume parfaitement la mission de RESOCOM depuis plus de 25 ans : sécuriser les échanges numériques et lutter contre la fraude identitaire. La digitalisation massive des services a fait émerger de nouveaux risques : Usurpation d’identité Fraudes documentaires Deepfakes et IA générative Forbes souligne que la confiance numérique est désormais un pilier incontournable pour les entreprises et les citoyens. RESOCOM, un acteur clé de la lutte contre la fraude Depuis sa création, RESOCOM s’impose comme un tiers de confiance en proposant des solutions innovantes pour : Vérifier l’authenticité des documents Détecter les fraudes en temps réel Garantir la conformité réglementaire. L’interview de Marie Azevedo par Forbes est une preuve que la protection de l’identité numérique est au cœur des enjeux sociétaux et économiques. Chez RESOCOM, nous poursuivons notre engagement pour un numérique plus sûr, plus éthique et plus humain. 👉 Lire l’interview complète sur Forbes :  Marie Azevedo, pionnière de la confiance numérique : « Protéger l’identité, c’est protéger l’humain » – Forbes France 👉 Découvrez nos solutions pour sécuriser vos parcours clients : Panifiez une démo 👉 Inscription à notre TRUST DAY 2025  : https://www.billetweb.fr/resocom-trust-day

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FRAUDE DOCUMENTAIRE & IA : comment l’IA a industrialisé la criminalité

Les fraudeurs passent à la vitesse supérieure grâce à l’IA À l’ère du numérique, la fraude ne cesse d’évoluer : elle devient plus rapide, plus massive et plus automatisée. L’intelligence artificielle (IA) n’est plus simplement un outil de défense : elle est aussi devenue un moteur de l’attaque. Pour les entreprises, institutions et prestataires de services, le défi n’est plus seulement de détecter la fraude mais de la devancer. Les réseaux criminels ont compris que l’IA leur offre une longueur d’avance. L’Europol alerte : « les organisations criminelles commencent à utiliser des arnaques et des systèmes de paiement générés par l’intelligence artificielle pour cibler leurs victimes, leur permettant d’intensifier leurs opérations plus rapidement et à moindre coût tout en étant moins faciles à repérer. » Cette alerte provenant du rapport EU-SOCTA 2025 (European Union Serious and Organised Crime Threat Assessment) souligne qu’il est impératif d’être réactif et d’adopter des stratégies proactives pour contrer l’usage criminel de l’IA avant qu’il ne devienne incontrôlable. Dans le commerce en ligne, cette tendance se confirme : faux documents générés par IA, deepfakes, identités synthétiques… un panorama très inquiétant. En France,  selon un rapport publié en juin 2025,  les fraudes par deepfake ont explosé entre le premier trimestre 2024 et le premier trimestre 2025, avec :  +700 % de cas en France pour les deepfakes,  +281 % pour les documents d’identité synthétiques, Les secteurs les plus ciblés : e-commerce (+176 %), edtech (+129 %) et cryptoactifs (+84 %). Cette étude souligne que la démocratisation des outils d’IA générative (images, voix, vidéos) rend les protocoles de vérification traditionnels obsolètes et plaide pour l’intégration de technologies biométriques capables de détecter les deepfakes et documents synthétiques. Selon le rapport de l’enquête internationale  commandée par BioCatch (juin 2025) auprès de 800 dirigeants bancaires dans 16 pays, dont la France : 82 % des directeurs financiers français estiment que les criminels surpassent les banques en matière de techniques de blanchiment, Malgré des investissements importants (jusqu’à 25 M€ par an), les pertes liées à la fraude continuent d’augmenter, Les obstacles majeurs : cybersécurité, systèmes obsolètes, manque de ressources et complexité réglementaire Dans cet article, nous allons explorer les principales formes de fraude alimentées par l’IA et vous fournir des conseils concrets pour protéger vos données personnelles dans un environnement numérique en constante évolution et de plus en plus exposé aux cybermenaces. 1. Les principales figures de la fraude dopée à l’IA Les principales formes de fraude amplifiées par l’IA :   Documents falsifiés / automatisés : l’IA génère des justificatifs d’identité, des bulletins de salaire ou des relevés bancaires falsifiés avec un réalisme croissant. Deepfakes & usurpation d’identité : vidéos truquées, enregistrements vocaux, images modifiées ; les attaques se font passer pour une personne de confiance (dirigeant, collaborateur, client) pour obtenir des accès, des transferts ou des données sensibles. Attaques automatisées à grande échelle : grâce à des bots, à l’IA générative, les fraudes peuvent analyser des milliers d’identifiants ou cartes volées en quelques secondes. Usage de l’IA par les réseaux criminels comme vecteur d’industrialisation : l’IA rend possible une véritable « usine à faux ». 2. Pourquoi c’est un véritable problème pour les entreprises et l’économie  Le volume et la sophistication des attaques croissent : par exemple, la fraude documentaire « explose » avec l’IA. Les systèmes traditionnels sont en bout de course : 82 % des directeurs financiers français estiment que « les criminels surpassent les banques en matière de techniques de blanchiment d’argent. » Il s’agit aussi d’un enjeu de réputation : une simple usurpation ou un faux document reconnu peut fragiliser la confiance client, la conformité et l’image de marque. La complexité réglementaire, les systèmes hérités, le manque de ressources humaines sont autant de freins à une réaction efficace. 3.Comment anticiper et se protéger ? 5 axes stratégiques que toute organisation doit considérer : 1. Combiner IA et expertise humaine : l’IA permet d’automatiser la détection, de repérer les signaux faibles ; l’humain reste indispensable pour interpréter, qualifier et décider. 2. Surveiller les identités, comportements et flux : mettre en place des dispositifs de « graph data science », analyse comportementale, corrélation d’anomalies. 3. Mutualiser les informations de fraude : les réseaux criminels fonctionnent à l’échelle industrielle ; la coopération entre acteurs est essentielle. 4. Veiller à la conformité et à l’éthique des outils IA : transparence, traçabilité, gouvernance de l’IA, conformité aux régulations (RGPD, eIDAS…) sont devenues des exigences. 5. Former et sensibiliser : les collaborateurs restent la première ligne de défense ; ils doivent être conscients que la fraude n’est plus « simple », elle est complexe, automatisée, perfide. 4. Le positionnement et l’expertise RESOCOM Notre approche pionnière pour sécuriser l’identité numérique Dans un univers où la fraude numérique et les attaques basées sur l’intelligence artificielle (IA) évoluent à grande vitesse, il ne suffit pas de réagir : il faut anticiper et s’adapter en temps réel. Chez RESOCOM, nous combinons expertise technique, expérience humaine et agilité de pionnier pour décrypter les menaces, détecter les schémas complexes et faire évoluer nos solutions face aux nouvelles formes de criminalité numérique. Notre approche dépasse la simple défense : nous concevons des solutions innovantes de détection et de prévention de la fraude documentaire et numérique, capables de suivre la sophistication croissante des attaques, tout en renforçant la confiance et la résilience numérique des organisations. Le 4 décembre, à Paris, nous dévoilerons ces solutions lors d’un événement exclusif : une opportunité unique de découvrir comment anticiper la fraude numérique, protéger vos données et renforcer la sécurité de vos systèmes grâce à l’IA.Réservez dès maintenant la date : un rendez-vous incontournable pour tous les acteurs de la cybersécurité, du KYC et de la confiance digitale. Planifiez une démo

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Fraude documentaire inversée : pourquoi les entreprises doivent agir dès maintenant​

Saviez-vous qu’en cherchant à se protéger de la fraude, certaines entreprises finissent, sans le savoir, par valider… des documents frauduleux ? C’est ce qu’on appelle la fraude documentaire inversée : un phénomène encore méconnu mais aux conséquences juridiques et éthiques majeures. Pourquoi ? Parce qu’en cas de contrôle insuffisant ou mal réalisé, une entreprise peut devenir complice involontaire d’une fraude. Qu’est-ce que la fraude documentaire inversée ? Sous la pression des réglementations (comme le KYC, LCB-FT, RGPD), les entreprises doivent vérifier l’identité de leurs clients, salariés ou partenaires. Mais face à des documents de plus en plus sophistiqués, elles peuvent se tromper : Valider un faux document, exposant l’entreprise à des risques juridiques. Rejeter un document authentique, ce qui peut conduire à des discriminations ou ruptures injustifiées de contrat. « L’acceptation d’un faux document, ou le rejet erroné d’un document régulier, s’insère dans une chaîne de responsabilité. L’entreprise, même involontairement, s’expose à des conséquences juridiques et réputationnelles considérables. » Pourquoi cette question devient centrale pour les entreprises ? Deux grandes réglementations majeures placent désormais les entreprises face à leurs responsabilités : D’après un article de Thilo Firchow paru dans le magasine Village Justice : village-justice.com. – Ancien magistrat, haut fonctionnaire et professeur des universités associé. Référent label engagé RSE de AFNOR certification. 1. La loi sur le devoir de vigilance (2017) Les grandes entreprises doivent : Identifier et prévenir les atteintes aux droits humains et à l’environnement dans toute leur chaîne de valeur. Contrôler l’authenticité des documents d’identité pour éviter les fraudes, le travail illégal ou les partenariats douteux. « Ce que vigilance veut dire aujourd’hui, c’est l’obligation de tout mettre en œuvre pour éviter la non-conformité. Cela suppose une vraie culture de la prévention et de l’attention au risque. » 2. La norme européenne DORA (Digital Operational Resilience Act) Met en place des exigences sur la traçabilité, vérification et auditabilité de tous les documents échangés dans l’entreprise. Impose de prouver l’intégrité de chaque étape du traitement d’un document (numérisation, contrôle, archivage). Pourquoi les entreprises sont-elles souvent mal préparées ? Aujourd’hui, beaucoup d’entreprises se sentent protégées à tort : Parce qu’elles ont recours à l’intelligence artificielle (IA) sans vérifier la fiabilité des résultats. Parce qu’elles pensent que la dématérialisation des documents suffit à garantir leur sécurité. « Beaucoup de nos clients se sentent faussement protégés et sous-estiment dramatiquement la capacité des fraudeurs à produire des documents parfaits. » Comment RESOCOM aide les entreprises à éviter ces pièges ? Depuis 25 ans, RESOCOM combine technologie avancée et expertise humaine pour sécuriser la vérification des documents : Analyse automatique de documents avec détection d’anomalies invisibles à l’œil nu. Contrôle humain pour affiner les résultats et traiter les cas douteux. Archivage et traçabilité conformes aux exigences DORA. Accompagnement sur-mesure pour instaurer une véritable culture de vigilance en interne. « Lutter contre la fraude ne consiste pas seulement à déployer des scanners ultra-performants. C’est avant tout insuffler un esprit de responsabilité partagée, où chaque collaborateur sait repérer, signaler ou questionner. » Un enjeu éthique et sociétal : Au-delà de la conformité, bien vérifier les documents, c’est : Éviter de recruter des personnes sous fausse identité ou sans titre de séjour. Refuser des partenariats avec des entreprises douteuses. Protéger les droits humains et éviter de nourrir des circuits de travail illégal. Préserver son image auprès des clients, investisseurs, et partenaires. « Une entreprise qui assure la fiabilité et la traçabilité de ses documents agit pour le respect des droits fondamentaux. Elle contribue à réduire la précarité et à protéger sa réputation. » Conclusion : vers une entreprise responsable et résiliente Dans un monde où les chaînes de valeur sont mondialisées et complexes : Se protéger de la fraude documentaire est un acte de responsabilité. En intégrant les principes du devoir de vigilance et de DORA, les entreprises se prémunissent contre les risques juridiques, mais aussi contre les risques humains. « La vigilance est un socle pragmatique pour les entreprises soucieuses de pérennité et de légitimité. En conjuguant rigueur normative et ambition éthique, elles peuvent tenir en échec la fraude documentaire et protéger ceux qui en sont les premières victimes. » 💬 Vous souhaitez en savoir plus ou auditer vos pratiques documentaires ? Contactez RESOCOM pour un diagnostic personnalisé : contact@resocom.com

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